Un certain nombre de conférences sur divers sujets ayant trait au
rythme sont également disponibles. Celles-ci peuvent être associées
ou non à une animation.
- Rythmes africains, rythmes indiens. Comment ça marche ? Et chez nous ? par Arnould Massart
On
entend souvent dire que, contrairement à nous, les Africains ont le
rythme dans la peau ; par ailleurs, d'aucuns prétendent que l'on ne
peut comprendre la rythmique indienne qu'après des années de
méditation. Il n'empêche que les rayons de nos disquaires comptent un
nombre croissant de rythmes provenant de régions extra-européennes !
C'est donc que nous les apprécions. Mais notre écoute est-elle pareille
à celle des autochtones ? C'est à voir… Comment ces cultures-là
perçoivent-elles, comment conçoivent-elles ces rythmes ? Voilà des
questions auxquelles nous allons tenter d'apporter quelques éléments de
réponse – ce qui, in fine, nous aidera peut-être à entrevoir la place
qu'occupe le rythme dans notre culture.
Conférence multimédia organisée par la Société belge d'Analyse musicale (www.sbam.be)
- Les Ateliers du Rythme, Pourquoi
? par Arnould
Massart
L’ historique de la genèse des Ateliers
du Rythme au travers d’un questionnement sans cesse renouvelé
sur l’origine des difficultés que connaissent beaucoup
de musiciens au plan rythmique et l’élaboration progressive
d’une approche susceptible de prévenir ou, tout au moins,
d’atténuer celles-ci.
- Le rythme de la tête aux pieds
par Arnould
Massart
Qu’est-ce que le rythme ? Que peut-on
en dire ? Comment l’appréhender ?
Quels rapports le rythme entretient-il avec le corps, les émotions
et le mouvement ? Quelle est la place du rythme dans notre
société et dans notre musique ? Voilà
quelques interrogations auxquelles cette conférence tente
d’apporter un élément de réponse.
- Rythme et respiration par
Arnould Massart
Notre respiration nous accompagne dès
les premiers moments de notre vie. C’est elle, entre autres, qui
rythme notre vécu quotidien. Le rythme musical, de son
côté, possède aussi ses respirations. Ce sont
elles qui lui donnent forme. Il ne faut cependant pas confondre
respiration musicale avec respiration physiologique. N’existe-t-il
pas cependant entre l’une et l’autre un rapport intime, comme
semble nous l’indiquer notre langue ?
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